📝 Changeons la loi du Québec : Les codes de pratiques pour les animaux ne doivent pas être écrit par ceux qui les exploitent !
Au Québec, la loi actuelle sur le bien être animal (votée en 2015) dit que les animaux sont sentients, et que leur bien être doit être respecté…sauf pour les animaux exploités (élevages, laboratoires), pour qui ce sont les industries qui définissent les “codes de pratiques”, et donc qu’est-ce qui “respecte leur bien être” ou non.
Cette structure actuelle profite à l’industrie, qui peut alors se vanter d’agir en toute légalité lorsqu’il s’agit de garder des cochons enfermés dans des cages ou des vaches dans des bâtiments, de broyer les millions de poussins males qui sont inutiles à l’industrie des oeufs, ou bien tuer des nombres incalculables de poissons par asphyxie lors de la pêche.
Soit les animaux sont sentients, sois ils ne le sont pas; soit nous respectons leur bien être, soit nous ne le respectons pas. La loi actuelle, bien hypocrite, permet de donner aux consommateurs la sensation que tout va bien et que tout est encadré, alors que des horreurs sans nom se produisent quotidiennement bien à l’abri des regards dans notre province.
Nous voulons faire pression sur le gouvernement québécois afin que la loi soit amendée, et que le bien être de tous les animaux – exploités ou non – soit respecter. Nous voulons que les codes de pratiques soient entièrement revus par un organisme totalement indépendant de l’industrie, et composé d’experts en comportement animal. Enfin, nous voulons que la vérité soit vue en face : que si les droits des animaux sont autant bafoués au Québec, ce sont pour des raisons économiques qui doivent être adressées afin que les industries puissent transitionner vers des pratiques plus respectueuses, ou vers des alternatives ou des animaux n’ont pas à être tués pour la production.
Au Québec, la loi actuelle sur le bien être animal (votée en 2015) dit que les animaux sont sentients, et que leur bien être doit être respecté…sauf pour les animaux exploités (élevages, laboratoires), pour qui ce sont les industries qui définissent les “codes de pratiques”, et donc qu’est-ce qui “respecte leur bien être” ou non.
Cette structure actuelle profite à l’industrie, qui peut alors se vanter d’agir en toute légalité lorsqu’il s’agit de garder des cochons enfermés dans des cages ou des vaches dans des bâtiments, de broyer les millions de poussins males qui sont inutiles à l’industrie des oeufs, ou bien tuer des nombres incalculables de poissons par asphyxie lors de la pêche.
Soit les animaux sont sentients, sois ils ne le sont pas; soit nous respectons leur bien être, soit nous ne le respectons pas. La loi actuelle, bien hypocrite, permet de donner aux consommateurs la sensation que tout va bien et que tout est encadré, alors que des horreurs sans nom se produisent quotidiennement bien à l’abri des regards dans notre province.
Nous voulons faire pression sur le gouvernement québécois afin que la loi soit amendée, et que le bien être de tous les animaux – exploités ou non – soit respecter. Nous voulons que les codes de pratiques soient entièrement revus par un organisme totalement indépendant de l’industrie, et composé d’experts en comportement animal. Enfin, nous voulons que la vérité soit vue en face : que si les droits des animaux sont autant bafoués au Québec, ce sont pour des raisons économiques qui doivent être adressées afin que les industries puissent transitionner vers des pratiques plus respectueuses, ou vers des alternatives ou des animaux n’ont pas à être tués pour la production.
Au Québec, la loi actuelle sur le bien être animal (votée en 2015) dit que les animaux sont sentients, et que leur bien être doit être respecté…sauf pour les animaux exploités (élevages, laboratoires), pour qui ce sont les industries qui définissent les “codes de pratiques”, et donc qu’est-ce qui “respecte leur bien être” ou non.
Cette structure actuelle profite à l’industrie, qui peut alors se vanter d’agir en toute légalité lorsqu’il s’agit de garder des cochons enfermés dans des cages ou des vaches dans des bâtiments, de broyer les millions de poussins males qui sont inutiles à l’industrie des oeufs, ou bien tuer des nombres incalculables de poissons par asphyxie lors de la pêche.
Soit les animaux sont sentients, sois ils ne le sont pas; soit nous respectons leur bien être, soit nous ne le respectons pas. La loi actuelle, bien hypocrite, permet de donner aux consommateurs la sensation que tout va bien et que tout est encadré, alors que des horreurs sans nom se produisent quotidiennement bien à l’abri des regards dans notre province.
Nous voulons faire pression sur le gouvernement québécois afin que la loi soit amendée, et que le bien être de tous les animaux – exploités ou non – soit respecter. Nous voulons que les codes de pratiques soient entièrement revus par un organisme totalement indépendant de l’industrie, et composé d’experts en comportement animal. Enfin, nous voulons que la vérité soit vue en face : que si les droits des animaux sont autant bafoués au Québec, ce sont pour des raisons économiques qui doivent être adressées afin que les industries puissent transitionner vers des pratiques plus respectueuses, ou vers des alternatives ou des animaux n’ont pas à être tués pour la production.